Support :
tout ce qui peut constituer une ressource susceptible d'être mise à contribution pour réviser « son travail » (dico junior ou « auto-dictionnaire, manuel, table de conjugaison, grilles de réécriture…)
Objectif :
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Revoir sa copie pour la réviser, l'améliorer en s'appuyant sur les orientations de l'enseignant et sur des ressources externes tels que : dictionnaire, fichier auto-correctif, grille d'auto-évaluation…
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L'enseignant rappelle le projet d'écriture, le sujet et les exigences en matière de production écrite. A cet effet, il rappelle la norme en matière de « présentation de la copie » et d'occupation de l'espace d'écriture : page-référence, page-brouillon et page-propre…
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Enseignant et élève affinent de concert la grille d'évaluation et de réécriture portée sur le tableau mural, en s'appuyant notamment sur les observations faites lors des séances antérieures.
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L'élève révise sa copie pour l'améliorer sur la base de la grille de réécriture et des orientations de l'enseignant en mettant à contribution des ressources externes qui constituent en fait les adjuvants naturels et obligatoires de la production écrite : dico juniors, table de conjugaison, fichier autocorrectif…
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Avec l'aide de l'enseignant, l'élève repère les réussites et les insuffisances de son travail : cohérence des informations, enchaînement des phrases, construction des phrases, choix lexicaux, correction orthographique…
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Alterner les phases d'écriture, de confrontations et d'explicitation de conseils et de réécriture.
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Ce que l'élève vient de réaliser, d'analyser, d'expliciter, avec l'enseignant… va l'aider à repérer les dysfonctionnements de son propre texte : progressivement, il sera davantage capable de le "réparer" en réinvestissant ce qu'il a découvert.
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L'élève « met au propre » définitif sur la 3ème page.
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Il rédige la page d'ouverture de la double feuille conformément aux normes communiquées au préalable : mise en page des 3 rubriques (espaces références, appréciations, sujet, signature du tuteur)
Remarque : Il importe de ne pas perdre de vue que le travail exigé s'inscrit dans le cadre de l'évaluation formative. L'écrit est davantage appréhendé comme un moment d'apprentissage que comme un moment d'évaluation sommative. L'accent est davantage porté sur les processus rédactionnels que sur le simple résultat.
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